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À la recherche des maîtres perdus

« Maîtres et métayers ». Ce couple lexical, fruit de l’histoire sociale des Landes de Gascogne, est au cœur du propos de Marquèze, et y sera particulièrement le 15 avril. Au jeu des associations mentales, c’est un automatisme incontournable. L’un ne va guère sans l’autre.

Au Pavillon des expositions de l’Écomusée de Marquèze, les enfants sont les bienvenus !

Au Pavillon des expositions de l’Écomusée de Marquèze, les enfants sont les bienvenus !

Dans les deux expositions, plusieurs dispositifs sont proposés pour ravir petits et grands. Ils sont tous en accès libre et la visite des expositions est comprise dans le billet d’entrée de l’Écomusée de Marquèze.

Si vous passez par notre exposition permanente, sur l’histoire de l’aménagement du territoire des Landes de Gascogne, vous trouverez dans chaque salle des jeux dédiés à nos plus jeunes visiteurs. Une manière ludique de comprendre le fonctionnement de l’agropastoralisme, le gemmage ou encore l’agriculture. Suivez “le chemin des enfants”, vous avez le droit de toucher (avec un peu de gel hydroalcoolique) !

Dans notre exposition temporaire actuelle, “L’architecture de l’airial landais. Retour aux origines”, visible jusqu’au 30 septembre, les pitchouns pourront découvrir tout en jouant les bâtiments traditionnels de l’airial landais, grâce au jeu de l’oie de l’airial, présenté à la fin du parcours. Gare à ne pas laisser échapper de brebis ou à faire une bonne récolte de résine de pin, sous peine de reculer de deux cases...

Ce jeu a été fabriqué par nos deux stagiaires médiatrices culturelles, Auriane et Olivia, qui ont mis la main à la pâte pour contenter nos petits visiteurs. Si vous êtes déjà venus dans nos expositions cet été, vous les avez peut-être croisées, en visites guidées ou en compagnie de scolaires.

D’ailleurs, elles ont accueilli en juin une classe de l’école primaire de Saint-Symphorien un peu particulière… Ces élèves de CM1 ont en effet travaillé depuis 2020 sur les bâtiments de l’Écomusée de Marquèze, afin de les modéliser en 3D et d’en proposer une visite virtuelle. Ce beau projet patrimonial et national est présenté à la fin du parcours.

Et si vous n’avez pas encore rencontré nos médiatrices, vous pouvez toujours profiter de leurs connaissances sur l’airial landais jusqu’au 31 août ! En attendant de nouvelles recrues la saison prochaine… Merci à elles !

  • Découverte du jeu de l'oie

  • Un dispositif de médiation de l'exposition permanente

  • Visite des élèves de CM1 de l'école primaire de Saint-Symphorien par Auriane et Olivia


Coup d'oeil sur le livre d'or du Pavillon

Anonyme

“Très belle expo, instructive et passionnante belles découvertes de notre patrimoine. Le village est bien conserve; bien reconstitué, bien entretenu”.

Léon

“Bravo à vous tous, un écomusée rappelant la vie d’il y a quelques dizaines d’années, un exposition intéressante qui se termine avec un jeu de l’oie fort apprécié des petits et des explications permettant de mieux comprendre l’écomusée. Continuez ainsi cela ne vaut la peine. Merci pour cette belle journée en famille”

Elietteo

"C'était trop bien, les guides étaient super. Bravo et merci pour les expositions"

Emma

“Super exposition!”

Embarquez ensuite dans le train centenaire direction le quartier de Marquèze pour retrouver d’autres dispositifs adaptés aux pitchouns !

Mathilde Bois, Chargée des expositions

Croix de la Saint-Jean, entre rites et croyances

Entre rites et croyances, la confection des croix de la St Jean à l’aube du 24 juin, c’est avant tout la volonté de sauvegarder ce que les anciens nous ont laissé. Ici à Marquèze, et ailleurs, c’est une tradition de célébrer la St Jean et de confectionner des belles croix de fleurs. 

Émile Vignes, le “Nadar du pignadar”

La première rencontre entre Émile Vignes (1896-1983) et l’Écomusée de Marquèze a eu lieu en 1977. Le photographe s’était rendu à l’Écomusée afin de s’entretenir avec Pierre Toulgouat (1901-1992), ethnologue et photographe ayant lui-même sillonné les Landes pendant près de 10 ans, et Jean Tucoo-Chala, alors conservateur de l’Écomusée.

Georges Henri Rivière et le « Musée de plein air des Landes-Marquèze »

Dans les années 1930, Georges Henri Rivière (1897-1985) lançait à Paris le projet de musée national des Arts et Traditions Populaires dans la perspective d’établir des musées de plein air en région. Infatigable muséologue, il participe ensuite à la création d’une multitude de musées dans le monde et à la définition du concept révolutionnaire d’écomusée.

Inventorier le Patrimoine Culturel Immatériel

[AUTOUR DE L'ÉCOMUSÉE]

Du 12 au 16 février 2018 se tenaient les Journées de formation au Patrimoine culturel immatériel* à Pau et dans ses environs.

Ces journées sont consacrées à la méthodologie d’inventaire, de valorisation et de sauvegarde du Patrimoine culturel immatériel (PCI) défini en 2003 selon la convention de l’Unesco comme une notion comprenant les pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire que les communautés reconnaissent comme élément vivant de leur patrimoine culturel.

L'arbre de mai à Marquèze

[Au fil des saisons]

Des croyances celtes au rituel de passage vers l’âge adulte

Si l’arrivée du printemps a été annoncée par notre calendrier le 20 mars dernier, jour de l’équinoxe de printemps, la nuit du 30 avril au 1er mai constitue traditionnellement un symbole fort en Europe occidentale. Pendant cette nuit s’opère le passage entre la morte-saison et le renouveau.

Les bergers sont-ils de grands fêtards ?

Du nord au sud du monde, des rives de la Méditerranée aux contreforts des Alpes, sur les plateaux de l’Atlas ou dans les massifs montagneux des Balkans, c’est la même histoire, les bergers sont apparemment de grands fêtards : pour eux, une corde de plus à leur arc pour séduire les belles, pour tous, une date de plus à cocher dans le calendrier des rites et des fêtes.

Lo Gascon : presentacion e explics.

Entà parlar de la lenga deu país, qu'enteneratz lo monde de noste a emplegar mots desparièrs com patoès, Gascon o enqüèra Occitan, quan s'ageish en realitat deu medish idiòma. Perqué ?

Mères courage

« Faner est la plus jolie chose du monde, c’est retourner du foin en batifolant dans une prairie. » Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné

Quand on parle du travail des paysans dans la société traditionnelle, on parle de celui des hommes. Quand les hommes parlent du travail, c’est rarement de celui des femmes.

Meunier ne t’endors pas !

Les moulins dans le Parc naturel régional : un patrimoine et des savoir-faire menacés.

Le territoire du Parc a compté plus de quatre-vingt moulins le long de ses ruisseaux et sur ses plateaux exposés aux vents. C’est aux XVIIIe et XIXe siècles, alors que le pain constitue la base de l’alimentation quotidienne de la population, que la plupart de ces constructions s’élève, principalement au-dessus des affluents de la Leyre. Seule une quinzaine de moulins à vent est utilisée par des meuniers exploitant probablement en parallèle des moulins hydrauliques, ce double usage leur permettant de travailler même en période de crue ou de sécheresse.

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